29 décembre 2011

C'est fait.....

et voilà nous avons enfin finalisé le site web, alors pour la suite de nos aventures, il vous faut aller à cette adresse :

www.trailcentrealsace.fr

avec des nouveautés comme des news sur le T3am trail colmar MC et le trail des Marcaires....

26 décembre 2011

Merci Père Noël!!!

Et voilà, le Père Noël est passé!!! 

Chocolats, bijoux, vêtements et tout le toutim étaient au rendez-vous dont une jolie veste que je convoitais depuis bien longtemps... Le coupe vent salomon dont le nom barbare est Fast Wing Hoody II Jacket W. 

En image, ça parle plus... Pas mal non?!? 

Y'a pas à dire, côté style, salomon se débrouille bien et les touches girly, ça le fait! Après, il s'agit de mon appréciation totalement féminine! Mais bon, c'est pas parce qu'on fait du sport qu'on doit être mal habillée ;-))

En attendant côté technique...outre le fait d'avoir des touches de couleur rose et d'être super bien coupée elle a aussi d'autres caractéristiques (dixit Salomon) :
- Coupe vent grâce à la matière Clima Wind
- Ajustable à la capuche et au bas du vêtement
- Réfléchissante (enfin, je continuerai à compter sur mes sens pour ne pas me faire renverser...)
- Poche de rangement avec fixation au bras


Pour l'avoir testé ce matin, je regrette vraiment pas qu'on me l'ai offerte! En plus d'être légère et très fine, le toucher est tout doux. Pas besoin d'avoir nombre de couche textile pour avoir chaud, elle se suffit presque à elle toute seule. Seul hic, c'est que je m'attendais pas à un tel résultat et j'avais mis 2 sous couches pour pas avoir froid. Résultat, j'ai eu très très chaud! Heureusement que côté respirabilité elle gère assez bien autrement, j'aurais été trempée!
Mais le top c'est qu'elle est hyper compact et légère. Elle se range dans une petite poche qui peut s'accrocher au bras ou prend un rien de place dans le sac.

Résultat...trop contente de l'avoir reçue et vous la conseille vivement. 

P.S : Pour les hommes ils ont la version de cette veste avec les couleurs Salomon en dégradé sur la tirette. Trop trop belle, dommage qu'ils n'ont pas repris l'idée du dégradé pour les filles...

21 décembre 2011

Pas de repos durant les fêtes...

Depuis début novembre, nous avons repris l'entraînement avec comme objectif à long terme les cross départementaux, régionaux, inter régionaux et si les jambes le veulent...les France. 4 dates où il faudra être vraiment en forme pour n'avoir aucun regret.

Comme à son habitude, Christophe nous a concocté un planning d'enfer. Si le premier bloc avait pour but de nous faire reprendre de la vitesse, aujourd'hui, il tente de nous permettre de la maintenir. Idéal pour apprendre son allure. Pour cela, les séances de spécifiques s'enchaînent et sont de plus en plus corsées : VMA en côte à la frontale, VMA longue et moyenne en nature, etc. Les bornes s'accumulent à une vitesse éclair (le plaisir aussi).

Si courant novembre je me disais être en pic de forme, celui-ci est bien loin. J'arrive à faire les séances mais je vois bien que c'est pas ça. Enfin, c'est pas aujourd'hui qu'il faut être en forme... Et trêve des confiseurs ou pas, Chris' ne va pas relâcher la pression, bien au contraire. Il faut voir le côté positif...1. l'entraînement nous permettra d'être prêt en temps et en heure 2. on pourra se faire plaisir lors des repas de fêtes sans penser aux calories ;-)).

14 décembre 2011

Retour aux sources

J’ai découvert, ou plutôt Stef m’a fait découvrir la semaine passée le concept du Minimalisme… Kézako ? Ca veut tout et rien dire à la fois. Il ne s’agit ni de tenues ultra courtes ni même du monde merveilleux des Minimoys, mais bien d’un terme qui concerne la course à pied et tout particulièrement la foulée du coureur.

Forcément, le concept vient des States… J’en avais déjà entendu parlé ou plutôt je connaissais déjà l’un des produits phare : la Five fingers…. Perso, je pensais que c’était un simple effet de mode histoire de se la jouer original. Je ne m’y était pas plus intéressée car j’avais nombre d’à priori en tête selon lesquels il est indispensable d’avoir de l’amorti, un maintien du pied , etc. C’est tout de même marrant à quel point on est formaté.

Et semaine passée, Stef me mail… « J’ai trouvé mon cadeau de noël […] je vais passer au minimalisme ». Première réaction : google est mon ami ! ! ! Moi qui pensais que la Five finger était un concept marketing, je découvre une nouvelle manière de courir qui se dit être plus en adéquation avec la nature. Un peu sommaire comme approche je l’avoue. Aussi, au fil de mes lectures et de mes discussions avec Stef et Yann de Jog’R le concept s’est mieux dessiné dans mon esprit.

Le minimalisme se base sur le fait qu’il n’y a aucun différentiel de hauteur entre le talon et l’avant du pied. Naturellement l’attaque (d’un coureur pied nu) se fait par l’avant du pied. Et pour les fanatiques, la chaussure (même une five finger) coupe tout le plaisir sensoriel avec le sol.

De là, un vocabulaire très poussé (pour une blonde peut-être) est né : drop, zéro drop, barefoot, midfoot, et je dois en oublier…Mais c’est aussi un marché très porteur que les marques ont détecté… En effet, avant de pouvoir être un vrai minimaliste, il faut réapprendre la foulée naturelle qui est d’attaquer avec le plat du pied puis la pointe. Aussi des marques comme Saucony, New Balance, Brooks, Nike, Adidas, Asics, etc. se sont lancées dans le créneau en proposant une gamme de chaussure de transition. Et pour les coureurs ne souhaitant pas aller à l’extrémisme du courir pied nu, elles ont également créée de vraies chaussures minimalistes sans aucun amorti et ayant zéro drop. Au final, l’auteur de Born to Run Christopher Mac Douglas parle d’un marché qui frôle les 2 milliards de dollars -et le phénomène ne fait qu’émerger en France-. 

Maintenant, je connais Stef et il n’est pas du genre à se laisser aller à un quelconque consumérisme ni même à un retour aux sources (déjà que le bio c’est pas sa tasse de thé !lol) ! Aussi, pourquoi est-il prêt à délaisser ses Nike Vomero pour des Brooks Pure Connect ? ! ? Tout bêtement pour les bienfaits attribués à cette nouvelle manière de courir. 

La foulée du milieu à l’avant du pied serait moins traumatisante pour le coureur car elle amortit de manière optimale l’impact au sol. Or un coureur attaquant du talon encaisse à chacune de ses foulées 2 à 3x son poids. De plus, avec la foulée minimaliste, le tendon d’Achille n’est plus en extension aussi la vilaine tendinite dont souffre Stef pourrait enfin le laisser tranquille.

A côté de cet avantage non négligeable (pour Stef), il y aurait d’autres bénéfices à la foulée minimaliste : moins de blessures, un essoufflement et une fatigue moindre. En effet étant courte elle implique une plus grande cadence soit 170 à 180 pas/minute contre 160 pour un coureur amateur (attaquant du talon). Et la logique veut que : Petits pas = peu de rebond = moins d’énergie dépensée et Peu de rebonds + Petits pas rapides = moins d’impact par foulée donc moins traumatisante pour le corps.

Difficile d’aller à l’encontre de ses arguments. Malgré tout, je ne suis pas encore prête à passer le cap. En effet, de nombreuses interrogations demeurent : 
- Le fait de modifier sa foulée peut effectivement être la solution à certaines blessures mais quels nouveaux traumatismes cela va-t-il générer ? 
- Alors que nous sommes à l’heure des ultras, quelle distance le corps peut-il encaisser en adoptant le zéro amorti ? 
- Si la foulée minimaliste était si bénéfique que ça, pourquoi en sommes nous arrivés à des chaussures aussi perfectionnées ? Uniquement le marketing ?

Je doute d’avoir fait le tour de toutes les interrogations qui en découlent néanmoins ce sont les 3 qui me viennent immédiatement à l’esprit. A mes yeux, tout comme pour Stef, et Yann, adopter le concept minimaliste doit se faire de manière réfléchi en tenant compte de son propre vécu sportif, de ses capacités physiques mais aussi des blessures dont nous sommes régulièrement victime. Et surtout, il faut bien suivre les étapes du passage au minimalisme au risque de blessure –eh oui, c’est aussi un chemin initiatique le minimalisme-. 

D’ailleurs tous les articles de minimalistes convaincus que j’ai lu se rejoignent sur un fait. Il ne faut pas seulement adopter une nouvelle foulée, pensant qu’elle va solutionner tous ses problèmes. Il faut aussi se réapproprier son corps et l’écouter pour avancer à son rythme et éviter ainsi les bobos qui gâchent le plaisir de courir. Idée qu’un coureur minimaliste ou pas devrait justement toujours garder à l’esprit !

Wait and see me dit ma conscience et c’est que ce que je vais faire. 

10 décembre 2011

Premier vrai cross!

La semaine passée, nous étions à Orbey pour le cross du KAS mais le parcours était atypique (Cf. articles précédents). C'est pour cela que je dis que le cross du Sapin de Noël (Sélestat) que nous avons couru ce samedi est mon premier vrai cross.

Toute la semaine a été le théâtre d'une seule et même question : est-ce que je vais réussir à tenir une allure soutenue tout le long du parcours?!? A cette question s'ajoutait : est-ce que je vais pas me perdre entre toutes les rubalyses ? est-ce que je vais réussir à courir avec des pointes ? etc. Malgré toutes ces questions existentielles ;-), une seule chose me taraudait sur la ligne du départ : faites que je me plante pas dans le nombre de tours!!! C'est bien un problème de blonde, Stef me l'a bien fait comprendre.

15h15, c'est le start. Stef comme à son habitude la joue façon Super Sonic! En même temps, c'est son point fort : starts et relances. Il arrive à atteindre une vitesse de pointe très rapidement. Perso, je la joue à la marie... je réfléchis pas et j'y vais. Ce qui donne du 20km/h mais sur une très courte portion, je vous rassure! ;-) En attendant, fallait pas randonner car il y avait un gros risque d'être enfermé dès le premier virage. Et malgré une bonne place, j'y serais à l'arrêt. Bon, c'est très vite reparti et de plus belle. Le premier tiers du parcours était très roulant, longues lignes droites avec quelques virages à 90° ou 180°. Le second est une partie plus technique avec énormément de relances et de bosses bien boueuses. A ce moment là, j'avais encore en vue Vanessa Ouar. Le 3ème tiers, à part une belle bosse est hyper roulant. Au final, ça nous donne un tour de 1,7km bien boueux à faire 4 fois.

4 tours et 4 états d'esprits...
1er tour : nickel. Les jambes sont là, les relances se font facilement, le souffle n'est pas court, Stef semble être bien positionné et moi aussi (2ème avec Vanessa en point de mire).
2nd tour : je gère. Je sent que je suis partie vite mais bon, c'est fait. Le tour se passe assez bien mais je vois les féminines derrière moi se rapprocher dangereusement. Cela me motive à garder mon allure soutenue même si je suis passée bien au-dessus des 4" au kilomètres.
3ème tour : Aïe aïe aïe. Là, j'accuse le coup. Jill Kiener m'a repris au début de ce 3ème tour. Je tente d'accrocher mais sur le moment impossible. Je n'arrivais pas à me concentrer sur autre chose que mon souffle et surtout ma déception d'avoir si mal géré mon début de course. C'est sur la partie technique que je reprends le dessus malgré des cuisses qui commencent à me brûler. Une reprise qui se fait peut-être un peu tard car Mélanie Bérentz est en train de revenir sur moi. Je m'accroche aux coureurs devant moi, pas question de perdre sans se battre.lol 
4ème tour : un mental de traileuse!!! Petite aparté avant d'attaquer ce 4ème tour... Mon cas de conscience sur la ligne de départ est réglé par Arnaud Bucher (aiguilleur du moment) qui annonce que je suis dans le dernier tour... Ouf, j'ai le même compte que lui!!! Donc, sur ce 4ème tour, Mélanie me reprend sur la première ligne droite. Mais contrairement avec Jill, cette fois ci, pas question de se laisser aller à la morosité.Je l'accroche ou plutôt je reste à sa hauteur même dans les virages 90° et à chacune des relances. En fait c'est une allure qui me va bien. Elle n'arrivera à me dépasser que sur une courte portion où j'avais raté ma relance. Mais je répare vite mon erreur et j'attaquerai la partie technique aux avant postes. C'est une partie qui me convient bien car il faut constamment relancer. Les longues lignes droites, c'est pas trop ma tasse de thé car j'ai du mal à tenir une allure soutenue longtemps. Et je sais que sur ce terrain là, Mélanie sera à son avantage donc j'attaque... Cela me permets de reprendre du terrain sur Jill.
Comme je m'en doutais dès que nous serons sur la belle ligne droite, Mélanie est à nouveau derrière moi. Je ne lâche pas l'affaire. Je peux y arriver et si près de l'arrivée, pas question de mollir. Sur la dernière bosse du parcours, je pense que j'ai réussi à remettre un petit écart entre elle et moi. Elle revient sur moi pour une 3ème fois, et là, à plus de 500m de l'arrivée, je lance le sprint. C'est quitte ou double, soit elle accroche soit elle est trop surprise pour réagir. En fait, elle est effectivement surprise mais elle reprend vite ses esprits. Donc, le dernier virage à 180° passé, je lâcherai mes dernières forces dans un sprint final qui est pour moi mémorable.

Résultat des courses, une 3ème place dont je suis très fière car je me suis battue pour l'avoir et qui est riche en enseignement. Un grand bravo à Vanessa qui m'a réellement scotché, Jill dont la régularité est impressionnante et surtout Mélanie qui même si elle m'a donné du fil à retordre m'a filé une patate d'enfer!

Côté chrono, je boucle les 4 tours (6,9km) en 28"50. Et pour Stef... une très belle 3ème place en V2!!! Et il y avait d'autre CMC sur le parcours : Antoine Menges (25"25) et  Patrick Heitz (27"15).

Si la saison de cap 2011 a été l'année de toutes les premières, la saison 2012 continue sur cette voie avec mes premières expériences en cross. Et c'est franchement géant. Avec Christophe, nous commençons réellement à travailler la vitesse et ce sont des séances que j'adore. Et le cross est un format particulier que j'apprécie vraiment car il nécessite de la vitesse, de la technique mais aussi de la stratégie. 

Vivement la suite!!!

05 décembre 2011

Retour sur le temps fort de ce we

Toi lecteur assidu et sportif te viendra direct à l'esprit le cross du samedi, que nenni, je vais revenir sur un autre évènement ou excelle le licencié du CMC, évènement de niveau national, diffusé sur une grande chaine de télévision, je veux parler de l'élection dont tout le monde parle, pas la présidentielle, mais celle de miss France.
D'emblée on voit qu'on a face à nous des spécialistes qui connaissent le sujet sur le bout des doigts, des commentaires pointus, des conseils avisés sur les tenues vestimentaires souvent comme en CAP tirant vers le minimalisme, critiques constructives sur la foulée et le roulement de hanches, prise de position sur le tiercé gagnant, voir même aller jusqu'à annoncer la future gagnante.
Une soirée ou tous ces grands spécialistes confrontent leur point de vue tant et si bien qu'on ne voit pas le temps passer, et rien que pour cela je dis VIVE LE CMC, et vivement l'année prochaine d'ici la je vais étudier le sujet...

Orbey : un stage... un cross...

Il fallait bien une première fois, et cette première cela aura été le Cross d'Orbey (Le Kas) dans le cadre du stage Cross qu'organisait le CMC.

Début du stage le samedi matin à 9h. Normalement, le we est censé être fait pour dormir... pas les nôtres on dirait! Départ de la maison à 7h45. Le trajet jusque Labaroche se fait sans accroc avec la plaisir de découvrir un coin de l'Alsace qui m'était jusqu'à ce jour inconnu. Et en plus des paysages, nous pouvions voir de superbes maisons dont l'architecture était sublime. Arrivé aux Cigogneaux, notre lieu de villégiature sportive, nous prenons possession de nos chambres (spacieuses et confortables) et nous mettons immédiatement en tenue.

Malgré le cross de l'aprem qui s'annonce, c'est une sortie avec VMA en côte que nous allons faire... 6 séries pour les filles, 8 pour les garçons. Comme tous les autres, on en garde un peu sous le coude. Faudrait pas se crâmer avant le cross. Néanmoins, certaines têtes brûlées du club me prendront tout de même un tour!

La séance effectuée, retour aux Cigogneaux. Repas tiré du sac, ambiance convivial et chocolat en dessert histoire de passer le temps jusqu'au départ pour Orbey. Le we venait à peine de débuter que l'ambiance était déjà au rendez-vous.
La pluie s'en mèle mais cela ne nous décourage pas et nous allons retirer les dossards. Le cross étant facultatif, aussi, un groupe partira de suite faire une séance sur le parcours pour ensuite nous encourager.
Histoire de s'échauffer, nous allons faire sa reco'. Une belle montée et une belle descente avec leurs lots respectifs de single track et une petite traversée de champs, plutôt boueuse. Un cross atypique qui ressemble beaucoup à une course de montagne format court. Perso, c'est un terrain où je me sent bien  mais est-ce que je vais pouvoir tenir le rythme ?!? On verra.

Moins de 15" avant le départ, nous nous mettons en tenue. Sur la ligne de départ, le orange est la couleur dominante! 15h15, coup de sifflet. Un start de folie. Ca se bouscule, ça se frotte, jamais vu ça. Mais je tiens bon, faut pas abuser tout de même. J'ai la chance de ne pas me faire bloquer au portillon qui est 500m après le départ. Le rythme est soutenu, je me fais dépasser mais je dépasse aussi un peu. La montée débute enfin. J'arrive à garder le rythme. Il y a vraiment beaucoup de monde, difficile de se situer dans ces conditions. Une chose dont je suis sûre, Stef est devant, les soeurs Kuster aussi.
Si sur la partie goudronnée, il n'est pas trop difficile de dépasser, c'est tout l'inverse dans les single. J'arrive tant bien que mal à le faire en lançant des gauches ou droites. Malgré tout, quelques hommes ne voudront ni se faire dépasser ni accélérer... Heureusement que certains morceaux du parcours seront plus larges...
La partie dans le champs était comme dit précédemment, un peu boueuse. C'était de longues lignes droites avec quelques coups de cul dans des virages à 90°. C'est sur cette partie que Lionnel m'encourage en me dépassant. Maintenant, je me dis que j'aurais du l'accrocher. Je sais pas si j'aurais tenu mais au moins j'aurais tenté. Tant pis, le croco me servira de lièvre une autre fois ;-).
La seconde partie du parcours est hyper roulante. Descente dans un single track puis chemin goudronné. C'est sur cette partie que je vais réussir à dépasser pas mal de coureurs. Pour arriver sur la ligne d'arrivée en 21"53 et 3ème féminine (derrière les soeurs Kuster, forcément).

Pour le CMC, c'est carton plein. Chez les masculins, 9 coureurs se situent dans les 12 premières places dont Jeff sur le haut de la petite boîte. Et du côté des féminines, nous sommes 2 sur les 10 premières places au scratch (Virginie 9ème et moi, 3ème). Mais aussi deux premières places sur les catégories junior et sénior avec  Bérangère et moi-même!!!
Et pour le retour de Stéphane en mode compétition, c'est une belle 6ème place en V2 qu'il accroche alors qu'il a deux mois d'arrêt et seulement 15 jours de reprise dans les jambes... De très bon présage pour le futur!!!

Le cross passé, nous remontons aux Cigogneaux pour une soirée sous le signe des Miss France. Eh oui, j'ai découvert que le coureur à pied du CMC est également un Miss France addict. Jean-Pierre Foucault n'a qu'à bien se tenir s'il ne veut pas perdre sa place de commentateur car quelques uns du CMC pourraient bien le remplacer avec brio ! ;-)

Après une nuit de sommeil bien méritée, le stage reprend de plus belle avec une séance de VMA pyramidal! Alors que nous nous rendions au parcours vita en courant, je me suis dit que ça allait être dur. Les jambes étaient encore bien lourdes de la veille. Mais finalement s'est passé. Je ferais les 3 séries avec Denis et Thomas en respectant à chaque fois les consignes : 1"30 rapide / 2" allure cross / 1"30 rapide / 1" récup'. En même temps, je doute que j'aurais réussi à tenir plus de 3 séries...

Après un bon repas, Sandrine nous a rejoint pour faire le footing de récup. Une petite balade en forêt  où nous avons pu papoter et "jouer" à notre guise. Au final, le stage s'est terminée sur les coups de 17h.

Pour résumé, ce fut un très bon we, riche en rencontre, entraînements et découvertes. Un grand bravo à Denis (organisateur et cuisinier hors pair), et à toutes les personnes présentent qui ont animé chacun à leur façon ce we plus que sportif!